Pourquoi cette formation est-elle essentielle ?
Comment participer ?
- Les escroqueries en ligne : de faux e-mails ou SMS censés provenir d’une source légitime servent à inciter des personnes à communiquer des informations financières ou à caractère personnel ;
- L’extorsion numérique : les victimes sont amenées par tromperie à partager des images sexuellement compromettantes dans le but de les faire chanter ;
- Les escroqueries aux faux ordres de virement : les malfaiteurs piratent les systèmes de messagerie électronique de sociétés afin d’obtenir des informations sur leurs systèmes de paiement puis trompent des salariés pour les inciter à virer de l’argent sur un compte bancaire leur appartenant ;
- Les rançongiciels : des cybermalfaiteurs bloquent les systèmes informatiques d’hôpitaux et d’institutions publiques et exigent de l’argent pour rétablir leur fonctionnement ;
- Les botnets : des réseaux de machines infectées sont utilisés pour automatiser des cyberattaques à grande échelle.
« Non contents d’exploiter les vulnérabilités en matière de cybersécurité dans la région, les malfaiteurs tirent également parti des différences de capacités des services chargés de l’application de la loi de part et d’autre des frontières physiques », avait indiqué Craig Jones, Directeur de la Cybercriminalité à INTERPOL.
En s’adaptant aux enjeux du numérique, la justice congolaise démontre ainsi sa volonté de protéger les citoyens et de lutter efficacement contre la cybercriminalité.
Par Digital Business Africa