« La surfacturation dérange la jouissance des droits du peuple congolais. La qualité de la connexion est faible, médiocre. Vous parlez et il y a des perturbations en réseau », explique Eunice Etaka, militante du mouvement Lucha. « On a augmenté intentionnellement les prix. À l’époque, on pensait que c’était pour empêcher la mobilisation pour chasser Kabila. Et maintenant que Kabila est parti, pourquoi maintenir le même prix ? Il faut que les choses changent. », explique Nicolas Mbiya, un autre manifestant également cité par RFI.
Tous sont allé au siège de l’Autorité de régulation des postes et des télécommunications au Congo (RTPC) dans la capitale Kinshasa, et promettent de revenir si leurs réclamations ne sont pas prises en compte.
Ecrit par Jephté TCHEMEDIE