Karelle Mbouopda Kuaté a été présentée ce 13 septembre 2012, à Douala, au cours de la soirée Biz Event 2012 de l’opérateur privé des télécoms.
La Camerounaise, qui a passé une quinzaine d’années en France, est arrivée à Orange Cameroun depuis trois mois. Ingénieure de formation, c’est elle qui va désormais gérer les ventes de cette entreprise qui a fait de l’innovation son leitmotiv. Karelle Mbouopda Kuate succède à Pascal Normand, qui a boosté les ventes de cette entreprise, pendant ses trois années à la tête de cette direction. En récompense de la qualité de ce travail, le Français a été appelé à exercer une autre fonction au sein du groupe France Telecom, à Paris. Le directeur général d’Orange Cameroun, acteur principal de ce Business Event Orange, qui a eu pour cadre le Castel Hall des Brasseries du Cameroun, a rendu un hommage appuyé à Pascal Normand.
A l’attention de Karelle Mbouopda Kuaté, Jean Bardet s’est appesanti le plus sur les souhaits de bienvenue. L’autre grande articulation de ce Biz Event était la présentation de la nouvelle trouvaille de Samsung en matière de téléphonie mobile. Il s’agit de Samsung Galaxy S III. Ce bijou, qui allie à la fois élégance et haute technologie sera, comme les I phone, commercialisé par Orange Cameroun. Ceci, «pour son expertise technique et son assise sur le marché camerounais», précise Jean Bardet, en délivrant quelques messages au sujet justement de la qualité de service technique. «Ce sujet fait l’actualité.
Retenez qu’Orange Cameroun continue sa marche vers l’amélioration de la qualité de service que nous voulons offrir à nos clients que vous êtes. Nous avons procédé tout récemment à l’intégration d’une nouvelle plate forme intelligente de services (In) qui vous permettra de vous offrir plus de produits innovants», commente le Dg d’Orange Cameroun. De son speech, on retient aussi que cette entreprise a un taux de couverture de populations supérieur à 80%. Globalement, le Biz Even annonce la rentrée Business 2012 d’Orange Cameroun et est destiné à sa clientèle Vip.
Source : La Nouvelle Expression
